Pas assez positif, ce Rapport Robillard

1.  Ce rapport aide le gouvernement à prendre des décisions importantes pour les finances de l’État. Nous devons attendre pour voir si les recommandations seront mises en places intégralement, ce qui, malheureusement, aurait pour effet de pelleter toute la responsabilité financière aux villes. Où est le vrai partenariat?


Les municipalités ne reçoivent PAS trop d’argent


2.  Le coût de mise en œuvre des services imposés aux municipalités par le provincial n’est pas tenu en compte nul part dans le rapport. C’est facile de dire que nous recevons trop d’argent, quand ils ne savent pas à combien se chiffre notre part de responsabilité.

3. Le rapport fait référence aux hausses des dépenses des municipalités sans calculer le pourcentage directement lié au désengagement de l’État ou dans l’imposition normative et réglementaire imposés aux villes.

Un quart versé aux villes, c’est nécessaire!


4.  Le rapport reproche qu’un quart des nouveaux argents dans le prochain budget devraient être versés aux municipalités. C’est normal : nous demeurons le plus important prestataire de service qui relève du provincial.
Photo  PC Jacques Boissinot, ministre Pierre Paradis

Notre industrie agricole reste importante


5.  Le rapport relève négativement la quantité de réussites entrepreneuriales dans l’industrie agricole québécoise en la comparant aux faillites plus élevées dans tous les autres secteurs. Drôle de soutient à un créneau économique important.


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